La question mérite d’être posée.
Un constat pour débuter, cette année après deux années sans réunion publique pour les vœux en raison de la Covid-19, la participation a été souvent importante dans les cérémonies auxquelles j’ai participé. Et surtout, celles et ceux qui sont venu-e-s étaient en général content-e-s de pouvoir renouer avec ce « rituel » des vœux.
C’est vrai dans la dimension professionnelle. J’ai participé à plusieurs réceptions notamment à Paris pour représenter la commission transports et mobilités de Région de France, UTP, FNTV, Gart. Ce fut à chaque fois l’occasion d’échanges importants avec des professionnel-le-s, l’occasion de prévoir des rencontres ultérieures ou des visites de site.
La réception pour les vœux de la fédération du Pcf 30 délocalisée à Alès un samedi à 17 heures était chaleureuse et combative.
C’est encore plus vrai dans la dimension contacts humains des cérémonies des communes auxquelles j’ai participé. Pour Alès Agglomération même si la dimension était important, c’était souvent répété par les participant-e-s.
Pour La Grand-Combe, la situation était spéciale. La cérémonie était aussi l’occasion du passage de témoin pour le maire et le premier adjoint. La participation était très importante et le contenu était très fort émotionnellement.
Dans les villages, les petites villes, c’est l’occasion de se rencontrer, de parler des réalisations faites, des projets de l’année nouvelle. Je l’ai retrouvé à Salindres évidement,
mais aussi à Saint-Martin de Valgagues, à Cendras, à Branoux les Taillades, au Vigan, à Domessargues.
Avec la maire du Vigan, le président de la ComCom, la présidente du PETR, les conseillers départementaux, l’adjoint aux finances …