Ce mois d’avril marque une étape importante dans mon engagement militant.

D’une part, j’ai décidé de ne pas me représenter dans l’instance nationale de la structure nationale des retraité-e-s CGT santé action sociale. J’avais été élu pour la première fois dans une direction nationale de la CGT en 1985 à la fédération CGT Santé Action sociale dans laquelle je suis resté jusqu’en 2002. Ensuite et sans discontinuer, j’ai successivement été élu dans la direction de l’entité en responsabilité des cadres et technicien-ne-s de la santé et de l’action sociale puis donc dans celle des retraité-e-s des retraité-e-s. Trente huit ans de participation à des instances nationales d’organisations de la CGT.

D’autre part, j’ai arrêté mon engagement national dans les instances nationales du Parti communiste français. Je l’avais intégré en étant élu lors du congrès de 1996. J’ai été notamment en charge de la commission santé protection sociale pendant de nombreuses années. Je suis maintenant associé à la commission mobilités.

Il ne s’agit pas désaccords mais plutôt de décisions de « passer la main », de laisser la place à de plus jeunes.

Ces deux décisions me paraissent justes pour permettre la rotation normale des responsables dans les directions des organisations qui comptent pour moi. En même temps, c’est une vraie page qui se tourne.

J’ai beaucoup appris de ces engagements nationaux, j’ai côtoyé de nombreuses et nombreux dirigeant-e-s de ces deux organisations, j’ai donné tout ce que je pouvais avec loyauté et détermination.

Mon envie d’être utile, de continuer à être au service des autres reste intacte ! Ma volonté à agir pour contribuer à la construction d’un monde plus juste, plus solidaire, de paix est toujours présente !