Le matin du 12 mars, j’ai présidé l’installation du comité alésien des Jours Heureux en lien avec la campagne des élections présidentielles conduite par Fabien Roussel. J’ai eu l’occasion de rappeler l’honneur d’être un des 626 signataires des parrainages pour sa candidature. J’ai aussi insisté sur les mesures proposées qui selon un sondage rencontrent plus de 80% d’avis positifs de la population.
En début d’après-midi, j’ai participé à une réunion publique à #Aimargues sur les enjeux de transports avec Armelle Grosjean cheffe de file du PCF aux législatives, Vincent Bouget élu départemental et secrétaire du départemental. Nous évoquons les problématiques de mobilités, les propositions de rupture portées par Fabien Roussel.
En fin d’après-midi, j’ai participé à la rencontre sur les questions de santé au Cercle de l’Avenir à Nîmes avecAnthony Gonçalves, médecin oncologue à l’institut Paoli-Calmettes à Marseille et professeur de médecine … il a notamment expliqué en quoi il est nécessaire de créer un Pôle Public du Médicament.
Aujourd’hui, les systèmes de sécurités sociales sont mis sous pression de la finance. « Il n’est pas rare que des médicaments innovants contre le cancer coûtent 70 000, 80 000 euros ». Ce ne sont pas les coûts en recherche et développement qui justifient ces prix mais les dividendes reversés aux actionnaires. Les profits de l’industrie pharmaceutique sont devant ceux de l’aéronautique, du luxe ou du numérique…
« Ce que l’on nous montre comme des avancées géniales de l’industrie pharmaceutique sont en réalité des avancées du génie humain public ». En effet, les vaccins contre la COVID sont avant tout le fruit d’instituts publics largement subventionnés. Le modèle libéral actuel conduit à ce que seulement 12% de la population d’Afrique a accès aux vaccins, préparant les futurs variants. Il est urgent de dégager l’activité pharmaceutique de la loi du profit pour en faire un bien commun. C’est le sens des propositions de Fabien Roussel pour l’élection présidentielle.