En juin, j’étais déjà allé en Lozère pour le dossier de l’Aubrac.

En juillet, j’y suis retourné deux fois.

Le 1er pour l’inauguration de la première partie de la Cévenole, la voie verte « la Cévenole », sur le tronçon Florac, St Julien d´Arpaon. Un autre tronçon entre Le Collet de Deze et Sainte-Cécile d’Andorge sera prochainement inauguré avant que l’ensemble de la Vallée Longue ne bénéficie de cette belle infrastructure, utile tant aux pratiques touristiques qu’à celles du quotidien. Édifiée sur une ancienne voie ferrée départementale fermée en 1968, à l’époque où le tout routier prenait son essor, cette infrastructure a donc retrouvé vie grâce à la volonté et la détermination des porteurs de projets à contre courant à l’époque puis depuis de nombreux partenaires financiers, le département de la Lozère, dont la présidente était à mes cotés, les communes, notamment Florac représentée par madame le maire, ma camarade Flore, et bien sur la région.

J’ai rappelé au nom de la présidente Carole Delga, l’engagement de la région pour valoriser toutes les mobilités, en les associant à l’exigence écologique, notamment le pacte vert qu’à décidé la Région Occitanie. Raccordée a la ligne ferrée du Cevennol à hauteur de Sainte-Cecile, cette voie participe de l’intermodalité et de la connexion entre différents modes de transport. J’ai rappelé à monsieur le préfet la nécessité que le gouvernement, financeur de cette voie verte, s’engage, et participe pleinement, conformément aux déclarations faites, au financement des infrastructures utiles au développement de toutes les mobilités, ferroviaires, routières, fluviales et des mobilités actives.

Je suis heureux que mon beau pays cévenol dispose d’une voie utile à toutes et tous.
Le 14 juillet, je suis venu à Mende pour l’inauguration du contournement routier.
J’y ai retrouvé la présidente du conseil départemental, Sophie Pantel et la sénatrice de Lozère. J’ai rappelé l’engagement fort de la présidente de région, Carole Delga, pour les mobilités à l’instar des trois déplacements effectués en Lozère en quelques semaines, l’un sur le ferroviaire, le second sur la voie cyclable et le troisième sur une infrastructure routière.
J’ai insisté sur la qualité du travail entre les équipes du conseil régional et celles des services de l’Etat en région. Mais j’ai indiqué que l’appréciation de la présidente de Région est que le compte n’y est pas dans le financement ministériel. Pour la région il n’y a pas de territoire oublié !