Ce dimanche 2 septembre, tu nous a fait une bien mauvaise plaisanterie ! Un voiture vous a fauchée la vie à « ton bernard » et toi ! Vous alliez terminer le chargement du camion pour le stand de la fête de l’Humanité. Tu devais sourire comme tu le faisais si souvent !

C’est vraiment injuste !

Tu étais la vie, la joie de vivre ! Et pourtant tu n’avais pas été épargnée par les épreuves ni par les difficultés, tu n’avais pas une situation de privilégiée mais tu étais souriante, de bonne humeur, avec un coeur très gros ! Ta conception de la solidarité, tu la vivais en accueillant des réfugiés, des sans papiers ! tu étais comme ça ! Tu avais un profond attachement à la paix et à la condition des femmes… Tu savais être cinglante sur ces sujets !

Nous étions encore ensemble jeudi et vendredi pour le séminaire de notre délégation… Tu as participé avec détermination à nos travaux. Tu étais contente de ce travail collectif que tu appréciais tant !

J’ai de multiples images de toi. Tu nous manques déjà fortement !